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Systèmes Informatique

« Système Informatique » est une expression générique pour désigner un système électronique capable de réaliser rapidement des opérations mathématiques, logiques, des manipulations de chaînes de caractères ou des recherches.

Le terme de système informatique recouvre à la fois la mise en œuvre et la gestion des composants de l’Infrastructure Technique (« hardware ») et l’ensemble des Logiciels qui guident et synchronisent leurs interactions (« software »).

Le principe fondateur d’un système informatique est que tout calcul complexe peut être décomposé en une suite d’opérations plus simples, susceptibles d’être exécutées automatiquement.

Notes : 

- L’IT (Système informatique) est l’ensemble des actifs matériels et logiciels de l’entreprise ayant pour vocation à automatiser le traitement de l’information. C’est la partie visible à laquelle tout le monde pense quand on parle de projets et d’infrastructures informatiques. On y inscrit également la R&D, l’innovation technique, et toutes les techniques d’optimisation. Pour résumer, le logiciel, le serveur qui va bien, et les écrans…

 

- Le SI (Système d’information) est l’ensemble des actifs de l’IT (matériels et logiciels, forcement référencé quelque part), qui comprend aussi et surtout les actifs humains et immatériels, les procédés, procédures, et processus, d’industrialisation, sur lesquels on les affecte, les informations de niveau sémantique, organisationnelle et de structure, dites 'Amont'.

- L’expression Application Informatique est parfois utilisée comme synonyme de système informatique. Ces expressions se différencient cependant sur deux points : Une application informatique se définit par rapport à l’usage pratique d’un système informatique, pour couvrir une demande d’automatisation du SI spécifique à une Organisation ; Un même système informatique peut héberger plusieurs applications informatiques.

 - L’Informatique Quantique bouleverse l’approche conventionnelle des systèmes informatiques. Cette technologie annonce une multiplication considérable des capacités de traitement, mais ses applications pratiques ne s’adresseront pas dans l’immédiat à une utilisation directe par le grand public.

Supervision

La supervision est la « surveillance du bon fonctionnement d’un système ou d’une activité ». Elle permet de surveiller, rapporter et alerter les fonctionnements normaux et anormaux des systèmes informatiques.
 

Elle répond aux préoccupations suivantes :

  • Technique : surveillance du réseau, de l’infrastructure et des machines

  • Applicative : surveillance des applications et des processus

  • Contrat de service : surveillance du respect des indicateurs contractuels

  • Métier : surveillance des processus métiers de l’entreprise

 

On ajoutera les actions réflexes à cette surveillance du système. Ce sont les réactions automatisées en fonctions d’alertes définies. En cas de dysfonctionnement, le système de supervision permet d'envoyer des messages sur la console de supervision, ou bien d'envoyer un courriel à l'opérateur et ce 24h/24 et 7j/7 dans certaines entreprises. Il peut être utile de compléter le superviseur par un logiciel de gestion des alertes, qui envoie automatiquement un courriel, un SMS, ou un appel téléphonique à un opérateur sous astreinte.
 

La supervision système porte principalement sur cinq types de ressources système :

  • Le processeur

  • La mémoire

  • Le stockage

  • Les commutateurs : utilisation des ressources, métrologie

  • Les serveurs : utilisation des ressources


La supervision réseau porte sur la surveillance de manière continue de la disponibilité des services en ligne, du fonctionnement, des débits, de la sécurité mais également du contrôle des flux. La supervision des applications (ou supervision applicative) permet de connaître la disponibilité des machines en termes de services rendus en testant les applications hébergées par les serveurs.

Préparation de projet

Pour réussir mon projet, j’ai établi une organisation sans hésiter à investir du temps dans la réflexion préalable avant le lancement et la conduite des travaux.

 

Les paramètres à maîtriser sont nombreux. Pour organiser un projet avec méthode, il convient de prendre les étapes une par une, de l'initialisation à la planification des moyens en s'inspirant des bonnes pratiques.

 

Le travail en amont est à ce titre très important, car à partir des éléments collectés auprès des parties prenantes et des moyens de la structure, on peut bâtir une démarche adaptée pour atteindre les objectifs du projet.
 

La planification est une phase indispensable, sans cela, rien n'est maîtrisé. En effet, cette étape a pour objectif d'organiser le déroulement du projet dans le temps.
 

La première phase consiste à découper le projet en plusieurs étapes. Estimer la durée, identifier l'enchaînement des étapes (dont celles qui peuvent être conduites en parallèle), affecter des ressources (financières et humaines), puis modéliser cette organisation sur un document opérationnel partagé entre tous les acteurs concernés pour optimiser le déroulement et le suivi de la réalisation.
 

Il existe différents outils et méthodes comme MS Project de Microsoft ou son concurrent open source Gantt Project. Les deux méthodes les plus populaires sont Gantt et Agile, qui se différencient par la Dead Line.
Pour réaliser mon projet de supervision, j’ai créé un calendrier afin d’indiquer toutes les étapes. 

MSProject

Hyperviseurs

En informatique, un hyperviseur est une plate-forme de virtualisation qui permet à plusieurs systèmes d'exploitation de travailler sur une même machine physique en même temps.

Aujourd'hui, les entreprises ont de plus en plus recours à la virtualisation de leur infrastructure, que ce soit pour répondre à des problématiques de coûts, de performances et/ou de souplesse de fonctionnement.

Les hyperviseurs sont classés actuellement en deux catégories : Type 1 natif, Type 2  hosted

Un hyperviseur de Type 1, natif, voire « barre métal » (littéralement « métal nu »), est un logiciel qui s'exécute directement sur une plateforme matérielle ; cette plateforme est alors considérée comme outil de contrôle de système d'exploitation. Un système d'exploitation secondaire peut, de ce fait, être exécuté au-dessus du matériel.
L'hyperviseur type 1 est un noyau hôte allégé et optimisé. Sur des processeurs ayant les instructions de virtualisation matérielle (AMD-V et Intel VT) l'hyperviseur n'a plus à émuler les anneaux de protection et le fonctionnement s'en trouve accéléré.

 

Avantages : Un maximum de ressources peut être alloué aux machines virtuelles car ce type d'hyperviseur est directement lié à la couche matérielle.

Inconvénients : Il n'est possible d'exécuter qu'un seul hyperviseur à la fois. Cette problématique n'est toutefois pas vraiment impactante puisque dans la grande majorité des cas, un seul et même hyperviseur est capable de gérer tous les applicatifs d'une entreprise.

Usage de ce type d'hyperviseur

Les hyperviseurs de type 1 peuvent être utilisés pour virtualiser des serveurs de fichiers, de bases de données, de messageries, etc... Ce type d'hyperviseur est à privilégier lorsque l'on souhaite exécuter des applicatifs en continu. La quasi-totalité des serveurs peut être virtualisée via un hyperviseur de type 1.

 

Ils permettent également de virtualiser des postes de travail.

Exemple : une entreprise souhaitant centraliser ses postes de travail en les virtualisant pour répondre à des problématiques de coûts et de gestion, pourra s'appuyer sur un hyperviseur de type 1. L'accès aux postes de travail virtuels se fera alors généralement via des clients légers (substantiellement moins onéreux que des PC physiques).

Hyperviseur1.png
Hyperviseur2.png

Un hyperviseur de Type 2 est un logiciel qui s'exécute à l'intérieur d'un autre système d'exploitation. Un système d'exploitation invité s'exécutera donc en troisième niveau au-dessus du matériel. Les systèmes d'exploitation invités n'ayant pas conscience d'être virtualisés, ils n'ont pas besoin d'être adaptés.

Avantages : Il est possible d'exécuter plusieurs hyperviseurs en même temps car ceux-ci ne s'installent pas directement sur la couche matérielle.

Inconvénients : Ce type d'hyperviseur ne peut pas fournir autant de ressources matérielles que les hyperviseurs de type 1 puisqu'ils sont installés sur un système d'exploitation, lui-même consommateur de ressources.

Usage de ce type d'hyperviseur

Les hyperviseurs de type 2 sont utilisés pour virtualiser des OS sur des PC, la plupart du temps afin de procéder à des tests de compatibilité et/ou de sécurité.

Il existe également un environnement dans lequel ce type d'hyperviseur est particulièrement utilisé : pour les utilisateurs Mac OS X ayant besoin d'utiliser Windows (en raison d'applicatifs non compatibles).

A ce propos : Comme l'installation d'un hyperviseur sur MAC est dans la grande majorité des cas effectuée pour utiliser des applicatifs Windows (comme Office 2013 par exemple), il est maintenant possible de démarrer des applicatifs Windows directement via l'interface Mac. Ce processus est transparent pour l'utilisateur, on a alors l'impression que l'applicatif fait partie intégrante de l'environnement MAC.

Les hyperviseurs actuels

Il existe différents éditeurs d'hyperviseur proposant des solutions plus ou moins onéreuses et présentant chacun des fonctionnalités spécifiques.

Hyperviseur de type 1, VMware vSphere, Citrix XenServer, Microsoft Hyper-V (intégré à Windows Server et version pro), KVM (Linux)

Hyperviseur de type 2 : Microsoft Virtual Desktop, Virtual Box (Open Source), VMware Workstation & VMware Fusion, Parallels Desktop

Logo Citrix
Logo Windows Hyper-V
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